Hamlet

Opéra en cinq actes. Livret de Michel Carré et Jules Barbier d’après Shakespeare. Créé le 9 mars 1868 à l’Opéra (salle Le Peletier)

Hamlet refuse d’assister au couronnement de son oncle Claudius. Celui-ci n’épouse-t-il pas la reine sa mère, veuve depuis peu ? Hamlet père semble déjà oublié à Elseneur, ce qui meurtrit plus le prince que sa propre mise à l’écart du trône. L’apparition du feu roi sur les remparts va le précipiter dans une quête destructrice de la vérité.

De l’adaptation de l’original par Dumas, Barbier et Carré firent un livret aussi romantique que spectaculaire, où Ophélie brille d’un éclat particulier. Avec ses airs virtuoses, ses ensembles saisissants et son orchestre chatoyant où débutait le saxophone, Ambroise Thomas composa l’une des plus belles partitions du répertoire français.

Opéra en cinq actes d’Ambroise Thomas Livret Miche Carré et Jules Barbier d’après Shakespeare • direction musicale Louis Langrée • mise en scène Cyril Teste • scénographie Ramy Fischler • création lumière Julien Boizard • conception vidéo Mehdi Toutain-Lopez et Nicolas Doremus• création costumes Isabelle Defin • dramaturgie Leila Adham • assistant direction musicale Julien Masmondet • cheffe de chant Marine Thoreau La Salle •  Chef de choeur Joël Suhubiette • assistante à la mise en scène Céline Gaudier • assistante scénographie Nina Chalot • assistante costumes Marion Duvinage • assistants dramaturgie Joséphine Bargas et Killian Francisco • avec Stéphane Degout, Sabine Devieilhe, Laurent Alvaro, Sylvie Brunet-Grupposo, Julien Behr, Jérôme Varnier, Kevin Amiel, Yoann Dubruque, Nicolas Legoux • choeur Les éléments • orchestre Orchestre des Champs-Elysées • photos Vincent Pontet

production Opéra Comique • coproduction Collectif MxM, Beijing Music Festival, Opéra Royal de Wallonie, Théâtre national croate de Zagreb • avec le soutien du DICRéAM, d’Olivier Théron pour le banquet, de DeFursac et d’agnès b. pour les costumes et de Fabien Joly pour les fleurs
remerciements Anaïs Cartier, Coline Dervieux, Olivier Saksik, Johnny Rabines, Victor Figueiras et la Comédie-Française